Histoires drôles juste pour rire
Réfractaire au STO (Service Travail Obligatoire)

Jacques LECOQ est arrivé en 1943 chez M BARON, il se cachait car il ne voulait pas travailler au STO. Il prit un nom d’emprunt J Jaques LEROY et y travailla comme employé agricole tout le temps de la guerre.
La guerre finie, il repartit en Picardie où il se maria
Sa femme voulut connaître Ocreville, le coin lui plut et ils sont restés et vécurent dans la petite maison. Le dernier enfant né à Ocreville et Claude en 1954.
Ensuite M BARON a vendu un terrain à Jacques ,et il a fait construire sa maison. Il est resté fidèle à Ocreville et a toujours fait partager ses connaissances avec beaucoup de gentillesse. Vivienne F.
L’occupation

M BARON fit un abri semi circulaire avec une tranchée. Il l’a couvert de pieux, de tôles et de terre, avec nourriture et eau en cas de danger. Il ne sera utilisé qu’une nuit.
Les Allemands avaient mis des canons dans la côte de Louvedalle et tiraient sur les alliés sur Boos.
Les obus passaient dans tous les sens. Un après-midi Marcel BONDET arrive chez M BARON pour les prévenir que les Allemands étaient arrivés à la ferme et voulaient nourriture et boissons. Les Allemands bien éméchés, se sont baignés dans la rivière et ont traversé le champ de M BARON sans rien réclamer.
Ce sont les seuls Allemands qui sont venus à Ocreville. Vivienne F.
Grosse omelette

Marcel CHAPLET, qui habitait Paris, venait tous les W.E à Ocreville dans sa maison située au carrefour du chemin Blanc et de la rue du petit pont.
Il repartait avec ses provisions, légumes, fruits et ses œufs frais qu’il avait mis dans un sac de voyage et posé à côté du portail. Il sort sa voiture en marche arrière et roule sur le sac rempli d’œufs. Super omelette , mais Madame CHAPLET ne fût pas du tout contente et le disputa une fois de plus fortement. Vivienne F.
Drôle de monture

Madame BARON élevait des cochons, pour éviter qu’ils mangent les fleurs et légumes, on mettait une agrafe dans le groin.
Jean devait maintenir le cochon pour mettre l’agrafe, mais n’y arrivant pas sa mère a voulu le faire… Le cochon s’est sauvé en emmenant sur son dos Madame BARON. Tous les deux on fait le tour de la ferme avant d’être arrêté » Drôle de monture » Vivienne F.